La NASA voit un avenir encore meilleur pour son programme d’alunissage humain après qu’une mission robotique privée se soit posée en toute sécurité la semaine dernière.
L’astronaute Tracy C. Dyson dit NASAc’est Programme Artémisqui vise à mettre des bottes sur le lune dès 2026, prend un « élan » du secteur privé Machines intuitives atterrissage. Cette mission, connue sous le nom d’IM-1, a effectué jeudi dernier (22 février) le premier atterrissage en douceur sur la Lune aux États-Unis depuis 52 ans.
« Cela signifie que nous pouvons le faire », a déclaré Dyson à Space.com lundi 26 février dans une interview exclusive avant son retour dans l’espace le mois prochain. « Nous retournons (sur la Lune), et cela nous donne un élan qui va nous pousser à continuer d’avancer. Artemis 2
et 3, et au-delà – et toutes les choses difficiles qui nous attendent. C’est un gros problème. »
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L’atterrisseur d’IM-1, connu sous le nom d’Odysseus, a été le premier engin privé à effectuer un atterrissage en douceur sur la Lune, et le premier véhicule américain à le faire avec succès depuis l’atterrissage en douceur sur la Lune. Apollon 17 mission en 1972.
À bord d’Odysseus se trouvent six expériences de la NASA dans le cadre du programme CLPS (Commercial Lunar Payload Services) de l’agence qui vise à faire de la science avant les missions Artemis. Une autre mission CLPS, effectuée par l’atterrisseur Peregrine d’Astrobotic, je n’ai pas réussi à aller sur la lune comme prévu en janvier.
Une mission Artemis est déjà dans les livres – Artémis 1qui a survolé la Lune avec des mannequins à son bord fin 2022. Artemis 2 devrait transporter quatre astronautes sur la même trajectoire au plus tôt en 2025. Artémis 3, si tout se passe comme prévu, atterrira à la surface vers 2026 environ. (Artemis 2 et 3 ont été retardés en janvier en raison de plusieurs problèmes techniques.)
Le Programme Artémis envisage d’établir une colonie permanente près du pôle sud de la lune, qui est riche en glace d’eau nécessaire au ravitaillement en carburant et aux machines. Il s’appuiera sur le succès de 25 années de lancement d’équipages d’astronautes vers le Station spatiale internationale (ISS), y compris celui de Dyson en mars.
Dyson décollera du Kazakhstan à bord du vaisseau spatial russe Soyouz MS-25 au plus tôt le 21 mars, pour un séjour de six mois à bord de l’ISS. La rejoindre sera Roscosmos le cosmonaute Oleg Novitskiy et la participante aux vols spatiaux Marina Vasilevskaya de Biélorussie, qui passeront chacun 12 jours dans l’espace avant de retourner sur Terre.
Dyson a déjà volé deux fois en orbite auparavant : avec la mission de navette spatiale STS-118 lors d’une mission de 12 jours vers l’ISS en 2007, et lors de Soyouz TMA 18 pour une mission de longue durée qui a servi dans l’espace du 2 avril au 25 septembre 2010. Elle a passé 176 jours dans l’espace au cours des deux missions.