1er juillet. 3 jours avant que l’Amérique ne célèbre son indépendance, nous célébrons l’absence de celle-ci des Mets. Pour beaucoup, ce n’est qu’une autre journée chaude et humide en plein été. Mais pour Bobby Bonilla, c’est une journée chaude et humide en plein été avec un millier de dollars frais déposé sur son compte courant. En 2000, les Mets ont pris une décision financière si ridicule que seuls les Mets pouvaient le faire. Le Bob Valentine déguisé en décisions financières. Ils ont décidé de reporter le contrat de 5,9 millions de dollars de Bobby Bonilla, en l’étalant sur 25 ans à partir de 2011. Désormais, chaque 1er juillet, les Mets versent à Bobby Bonilla 1,19 million de dollars. Oui. Un virgule un neuf millionBobby Bonilla, qui a pris sa retraite en 2001, gagne toujours plus d’un million de dollars chaque année simplement en restant en vie.
Imaginez ceci : vous sirotez une boisson fraîche assis au bord de la piscine, vous jouez à un match de softball caritatif entre célébrités, vous vous détendez dans un bar local en évitant votre femme et vos enfants, ou quoi que ce soit d’autre que font les joueurs retraités de la MLB, lorsque votre téléphone vibre avec une notification. « 1,19 million de dollars ont été déposés sur votre compte. » C’est la réalité de Bob. C’est le plan de retraite ultime. Mais comment cela est-il arrivé ? Les Mets, dans un coup de génie financier (ou de folie), ont pensé qu’ils pourraient investir l’argent économisé et obtenir un rendement plus élevé. L’ironie ? Leurs investissements ont coulé, et maintenant ils sont coincés avec un rappel annuel. C’est comme Noël, mais au lieu de la naissance du Christ, les Mets étaient juste stupides. Pendant ce temps, Bob est Chuck qui remporte le ticket d’or. Mais au lieu de visiter l’usine de chocolat avec son grand-père boiteux, il peut simplement acheter la foutue usine. Le 1er juillet n’est pas seulement le premier jour de juillet. C’est toujours un jour pour rire des Metropolitans. Alors, à ta santé, Bob Bonilla. Que votre premier juillet continue d’être rempli de rires, de joie et du doux son des caisses enregistreuses. Et aux Mets, merci de nous rappeler chaque année que dans le jeu de la vie, les Mets seront toujours bons pour rire. J’ai hâte que vous signiez exactement le même contrat avec Grimace !