Des particules, comme des étoiles
trop lointain pour notre ciel,
imprégner la chair –
silencieux
comme la neige qui tombe.
Nous sommes
ignorant
du siège à l’intérieur,
en transpirant
ce grand traître
graisse leur chemin
et inaugure
la foule sans voix.
Le monde rétrécit
à mesure qu’il se développe,
frontières floues
par le plus petit
fragments.
Dans ce vaisseau,
nous dérivons
à travers les débris
de progrès,
le péage
de facilité –
legs tracés
le long de la poussière
les voies de
nos veines chargées.
Ce poème est inspiré de recherche récentequi a découvert que les produits chimiques toxiques issus des microplastiques peuvent être absorbés par la peau.
Les minuscules particules de plastique, appelées microplastiques, qui se trouvent partout dans notre environnement, des océans les plus profonds jusqu’à l’air que nous respirons, suscitent une inquiétude croissante. Mais un domaine négligé est la manière dont ces plastiques pourraient nous affecter à travers notre peau, en particulier lorsque ces particules contiennent des additifs chimiques nocifs.
Des recherches récentes ont innové en utilisant des modèles de peau avancés pour étudier comment les produits chimiques issus des microplastiques peuvent pénétrer dans le corps humain. Cette recherche a révélé que certains produits chimiques toxiques, spécifiquement connus sous le nom d’éthers diphényliques polybromés (PBDE), pouvaient traverser la peau et pénétrer dans la circulation sanguine. Des facteurs tels que le type de plastique et la transpiration cutanée peuvent affecter la quantité de ces produits chimiques absorbés. Cette découverte est cruciale car elle montre que toucher les microplastiques pourrait être une autre façon – outre les manger ou les respirer – pour que ces polluants pénètrent dans notre corps, ce qui pourrait avoir un impact sur notre santé. Cette étude est une première étape vers la compréhension des risques invisibles que les microplastiques peuvent poser pour notre bien-être.