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Le coup de foudre dès la première bouchée… « The Garfield Movie » de Mark Dindal est une aventure parfaite, remplie d’humour palpitant et de moments réconfortants, tout comme une lasagne parfaitement réalisée, offrant de délicieuses couches de plaisir à dévorer pour les téléspectateurs de tous âges. L’animation est un régal pour les yeux, avec des couleurs vibrantes et des visuels nets et vifs qui donnent vie à la bande dessinée emblématique de Jim Davis de manière captivante.
Le chat emblématique du dessin animé ravit le public depuis plus de quatre décennies avec son mélange unique d’esprit, d’humour et de charme. Depuis ses débuts en 1978, Garfield est devenu un phénomène culturel, captivant les lecteurs par son amour sans vergogne pour les lasagnes, les siestes et les remarques sarcastiques. Malgré son attitude directe et sa nature égocentrique, l’adorable félin a conquis des générations de fans avec son éloquence attachante. La popularité durable du personnage témoigne du créateur Jim Davis et de sa vision de créer un protagoniste auquel on peut s’identifier et fiable.
Aujourd’hui, le félin bien-aimé revient sur grand écran dans un tout nouveau long métrage d’animation CGI de Columbia Pictures et Alcon Entertainment, produit par DNEG et réalisé par le célèbre vétéran de l’animation Mark Dindal, connu pour son travail sur The Emperor’s New Groove et Chicken Little. . Lorsque la vie de Garfield prend une tournure inattendue avec les retrouvailles de son père disparu depuis longtemps, Vic, le félin de renommée mondiale est catapulté de son style de vie indulgent pour rejoindre Vic dans une aventure aux enjeux élevés. Exprimé par Chris Pratt, le caractère adorable mais paresseux de Garfield est mis à l’épreuve alors qu’il se lance dans une aventure passionnante en plein air aux côtés de son fidèle compagnon canin Odie. Alors qu’ils s’associent à Vic, exprimé par Samuel L. Jackson, le trio se lance dans un braquage hilarant et plein d’action qui laissera les fans sur le bord de leur siège.
Depuis sa naissance, le paresseux tubby tabby a consolidé sa position en tant que phénomène culturel, rivalisant avec la popularité durable de nombreux autres personnages de dessins animés bien-aimés. Devenant finalement une partie intégrante de notre conscience collective, transcendant les générations et les supports pour ravir le public du monde entier. Ainsi, alors que je m’asseyais pour regarder « Le film Garfield », j’ai été instantanément transporté dans une époque nostalgique de souvenirs d’enfance et de moments précieux que j’ai partagés avec un être cher. La représentation dans le film de l’esprit et de l’audace du personnage de dessin animé bien-aimé a profondément résonné en moi, car Garfield a fait partie intégrante de ma vie, servant de fil conducteur qui nous a unis autour de notre amour commun pour le chat adorable mais cynique. Tout au long de sa vie, nous collectionnions souvent des nouveautés sur le thème de Garfield, comme l’emblématique masseur portatif, entre autres. Pour moi, la valeur nostalgique du film était palpable et je ne pouvais m’empêcher de ressentir un sentiment de chaleur et d’appréciation pour l’impact que Garfield a eu sur ma vie.
Marquant une nouvelle ère dans la franchise bien-aimée « The Garfield Movie », il apporte magistralement une dose d’esprit et de profondeur émotionnelle, une caractéristique de l’esthétique du réalisateur de Dindal. Cette adaptation cinématographique adopte une approche en explorant les années de formation du chat emblématique, Garfield, et son lien poignant avec son compagnon humain, Jon Arbuckle. Le public, en particulier les jeunes enfants, sera ravi de voir Baby Garfield, mettant en valeur son charme et sa faim irrésistibles, formant finalement un lien indissoluble. Ces séquences réconfortantes sont empreintes d’humour, donnant le ton d’un récit qui mêle habilement nostalgie et nouvelles perspectives.
Pour élaborer davantage la franchise Garfield, Davis a créé un casting de personnages bien définis, dont Jon Arbuckle, attachant mais maladroit, et Odie, adorable mais désemparé. Dans « Le film Garfield », nous sommes témoins des éléments essentiels qui ont contribué au succès durable du personnage, notamment son affinité pour les lasagnes, ainsi que son penchant pour une vie de confort et de luxe. Cette indulgence est facilitée par son propriétaire Jon (Nicholas Hoult) et son fidèle compagnon Odie (Harvey Guillén), qui sert d’ange gardien bienveillant à Garfield, recevant dans le film une représentation nuancée qui s’écarte de la représentation plus unidimensionnelle des bandes dessinées.
Au fur et à mesure que l’histoire se déroule, Garfield se lance dans une mission passionnante avec deux objectifs distincts. Avec son sarcasme et son agilité, il doit déjouer les griffes sinistres d’une féline vengeresse et de ses fidèles complices canins pour voler une grande quantité de lait dans une ferme transformée en parc d’attractions. Pendant ce temps, il doit affronter les émotions complexes entourant son père, Vic, dont l’abandon a laissé un impact durable sur la vie de Garfield. Tout au long du film, ces deux fils narratifs maintiennent un équilibre harmonieux entre une aventure pleine d’action et une sentimentalité réconfortante, se fondant parfaitement dans des thèmes profonds de découverte de soi et d’empathie. Au fur et à mesure que Garfield parcourt ce voyage, le père et le fils apprennent de précieuses leçons sur la croissance, le pardon et le pouvoir des secondes chances.
L’une des qualités les plus remarquables du film est sa capacité à réitérer des messages intemporels sur l’amitié et la famille sans paraître trop cliché. La relation entre Garfield et Vic évolue naturellement, reflétant la complexité d’une dynamique familiale éloignée. Les leçons qu’ils apprennent sur la confiance, le pardon et l’importance de la famille sont transmises avec sincérité, faisant résonner les émotions du film auprès des familles du public. Le faire avec charme et esprit fait de « The Garfield Movie » une expérience agréable. La réalisation de Mark Dinal offre un mélange d’humour, d’aventure et de moment sincère, créant un film à la fois divertissant et significatif.
Alors que Garfield navigue dans les complexités de l’ère numérique, avec les applications de nourriture et la livraison par drone jouant un rôle important dans l’histoire, le film intègre de manière transparente des œufs de Pâques qui rendent hommage à la riche histoire du personnage. De plus, les clins d’œil intelligents du film aux films d’action-aventure emblématiques sont savamment tissés tout au long du récit, créant un délicieux sentiment de familiarité et de nostalgie.
« The Garfield Movie » brille grâce à un ensemble impressionnant de talents vocaux, interprétés par Chris Pratt, qui a récemment captivé le public avec ses performances remarquables dans des films comme le film Super Mario Bros. Dans cette dernière tentative, Pratt, dont les chats miaulent, apporte son charme et son charisme au personnage principal, insufflant à Garfield un délicieux sens de l’humour et de l’esprit. Sa performance vocale capture sans effort l’essence de la personnalité paresseuse mais adorable du chat de dessin animé bien-aimé.
Samuel L. Jackson apporte une délicieuse énergie à son rôle de Vic, le père de Garfield, l’autre personnage notable du film. Sa présence est toujours un ajout bienvenu, et il associe sans effort le charme de Chris Pratt à son propre style. Notamment, la performance débraillée du père de Jackson est remarquable, grâce à la liberté de création que le directeur Mark Dindal lui a donnée pour apporter une nouvelle perspective à l’univers de Garfield. Jackson a également ajouté sa propre touche au personnage, rendant sa performance vraiment mémorable.
Le casting de personnages adorables brille de mille feux dans ce régal cinématographique, dirigé par l’inébranlable et attachant Odie (Harvey Guillen), qui apporte un sentiment de chaleur et de loyauté à l’écran. Pendant ce temps, Otto (Ving Rhames), imposant mais bienveillant, injecte un sentiment de gravité et d’autorité, sa présence robuste étant parfaitement équilibrée par l’esprit et le charme de Garfield. Leur interaction dynamique est une joie à voir, car leurs talents et personnalités combinés créent un braquage passionnant et réconfortant qui laissera le public sourire. Cecily Strong est une autre surprise bienvenue.
Préparez-vous à ronronner parfaitement par la méchanceté féline de Jinx, le cerveau criminel félin impertinent et rusé ! Hannah Waddingham donne vie à Jinx avec une voix aussi douce que de la soie, aussi acérée qu’une griffe et aussi captivante qu’un chat dans un rayon de soleil. Son talent dramatique et sa présence théâtrale vous rendront accro dès le début, alors qu’elle tisse facilement une toile de chaos et de malice. Jinx, la diva du cerveau de Minxy, apporte un niveau de gravité et de flair à « The Garfield Movie » en élevant cette câpre qui est tout simplement géniale. Alors que les voleurs félins rattrapent l’histoire entre elle et Vic, elle a évolué pour devenir un chat persan compatissant et épanoui, se frayant un chemin sans effort à travers les stratagèmes les plus complexes avec un esprit aussi vif qu’une moustache de chat.
De son collier qui change d’humeur à ses Milktini et Meowmosa à portée de main, Jinx est l’incarnation de la finesse féline. Ses moments dramatiques sont tout simplement théâtraux, et vous vous frayez un chemin jusqu’au bord de votre siège pour voir ce qu’elle fera ensuite. Mais n’arrêtez pas de regarder après le générique : restez dans les parages pour assister à une performance spéciale de Waddingham elle-même. Ses fidèles compagnons caïnins, Roland et Nolan, apportent également un soulagement comique exprimé par son collègue de Ted Lasso, Brett Goldstein, et Bowen Yang de SNL.
La revitalisation numérique de la figure orange emblématique, Garfield, a exigé un haut niveau de soin et de responsabilité. Heureusement, Dindal et Jason Boose, superviseur de l’animation chez DNEG, ont relevé le défi avec aplomb. L’ensemble de la performance visuelle, gérée de manière experte par Boose et son équipe, a été inspirée par l’héritage vénéré de ce chat de dessin animé bien-aimé. Le succès du film réside dans sa capacité à équilibrer la simplicité des émotions humaines et des situations relatables des bandes dessinées avec son animation vibrante. Les tâches de scénarisation ont été confiées à David Reynolds, nominé aux Oscars, co-scénariste de The Emperor’s New Groove, qui a collaboré avec Paul A. Kaplan et Mark Torgove pour créer une intrigue amusante et familiale qui élargit l’univers de Garfield.
Pour conserver le charme classique de la bande dessinée originale, Boose a méticuleusement préservé la conception des personnages emblématiques, la palette de couleurs et les poses que les fans ont appris à adorer. Le résultat est une qualité de livre d’histoires inspirée de l’aquarelle, avec des coups de pinceau picturaux et des arrière-plans rétroéclairés. Cette esthétique unique complète parfaitement les aventures de Garfield.
Le style d’animation innovant de DNEG est un autre point fort, car il mélange harmonieusement des mouvements naturalistes et stylisés pour conduire l’histoire. L’animation est à la fois pertinente et fantaisiste, oscillant souvent entre les deux. Cette approche stylistique a été influencée par le sentiment nostalgique du réalisateur Mark Dindal de jouer avec les jouets View-Master.
DERNIÈRES PENSÉES
En conclusion, « The Garfield Movie » est une délicieuse expérience cinématographique qui laissera le public de tous âges en haleine. Avec son mélange magistral d’humour, d’aventure et de moments réconfortants, ce film est un véritable trésor pour toute la famille. Il est clair que la passion des cinéastes pour le personnage de dessin animé bien-aimé a abouti à un film à la fois fidèle à ses sources et innovant dans sa narration. En mêlant habilement le charme classique des 45 ans d’histoire de Garfield, les cinéastes ont créé un délice culinaire qui laissera les spectateurs satisfaits, divertis et peut-être même un peu nostalgiques. Alors, si vous cherchez un film qui vous fera sourire et réchauffera votre cœur, c’est vraiment le pyjama du chat – une balade fantaisiste qui vous fera ronronner de plaisir et vous donner faim de plus.
Columbia Pictures et Alcon Entertainment sortiront The Garfield Movie dans les salles du pays le 24 mai.