L’un des plus grands changements apportés à Echo par rapport à sa version bande dessinée réside dans ses pouvoirs. Dans les bandes dessinées, elle a des pouvoirs similaires à ceux du personnage Taskmaster, avec une mémoire photographique parfaite qui lui permet de copier n’importe qui faisant n’importe quoi. Dans « Echo », elle a la capacité de canaliser les pouvoirs de ses ancêtres, car elle en est un écho à travers le temps. Le changement est brillant et place Echo plus fermement dans ses racines autochtones, grâce à une distribution et à une équipe d’écrivains, d’acteurs autochtones et bien plus encore qui ont contribué à faire en sorte que « Echo » se sente suffisamment authentique par rapport à leurs expériences. Dans le grand point culminant, elle dit à Fisk qu’elle n’est pas son écho, mais le leur, et elle lui récupère son identité d’une manière très puissante. Elle est son arme depuis trop longtemps. En fait, au lieu de le tuer, elle essaie de le guérir en utilisant ses nouveaux pouvoirs, car elle et Kingpin n’ont jamais eu qu’un langage commun de violence. En essayant de le guérir, elle lui propose un nouveau langage, mais il refuse.
Maya, de son côté, est guérie. Il y a encore de vieilles blessures en elle, laissées par la mort de ses parents et les horreurs qu’elle a infligées aux autres au nom de Kingpin, mais elle a le reste de sa famille pour l’aider. Elle semble avoir arrangé les choses avec sa grand-mère et Bonnie (même si tout se passe un peu trop vite et comme par magie) et attend avec impatience un avenir heureux. Sauf …